Premières expériences et engrenages : Chapitre 3 Découverte

Catégories : CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Chapitre 3 : Découverte Le public, l’exhibition n’entrait pas dans mes fantasmes. Je voulais juste prendre mon extase en jouissant dans la douleur. Je poursuivais, espérant lui faire oublier ce détail locatif. J’accrochai maintenant des pinces à linges de grandes tailles sur ma poitrine à raison de dix sur chaque. Dix vertes sur la droite, dix roses sur la gauche, laissant à nouveau mes tétons libres et m’attaquai à mes couilles et à mon sexe. Les couilles furent difficiles à attacher car le poids de la bouteille que je fixai généralement après, avait réduit la prise de peau flasque.

  • J’en veux une sur chaque couille qui la pince, pas juste sur la peau, m’écrit-elle. Je n’avais jamais essayé et en craignais la douleur, mais au contraire, si celle-ci était bien existante et pressante, elle accrut encore mon plaisir.
  • Merci maitresse, lui répondis-je face à un ordre qui me sortait de façon bénéfique de ma routinière t o r t u r e . J’utilisai les deux dernières plus puissantes encore sur les tétons. Je tirai dessus dans toutes les directions pour qu’elle puisse les voir s’étirer, me rappelant de garder les meilleures positions quelques secondes pour que la webcam les stabilise.
  • La cire doit être prête, me rappela-t-elle.
  • Oui maitresse.
  • Verse-le sur ton gland ! Vise bien ! Je pris la grande bougie et je versai la cire chaude. Je la posai presque sur mon gland lorsque je la penchai, respectant ainsi son dernier ordre. Ce n’est que plus tard que je compris que l’ordre était plus sadique qu’il n’en avait l’air. Si j’ai eu vraiment mal ce jour, c’était que la température de la cire était inversement proportionnelle à la hauteur de déversement. Elle se refroidissait dans l’air. Ce jour-là, j’avais cru que c’était l’envie de combler ma maitresse qui avait décuplé mes sensations.
  • Mets-toi un gode dans le cul !
  • Un quoi ? demandai-je encore peu accoutumé aux termes, en oubliant ma politesse.
  • Tu ne t’enfonces rien dans le cul ?
  • Non, maitresse.
  • C’est quelque chose qu’il faudra changer, écrit-elle.
  • Oui, maitresse, répondis-je sans savoir ce que cela me procurerait, mais si je recherchais des partenaires de jeux, c’était bien pour découvrir de nouvelles sensations, de nouveaux plaisirs, de nouvelles douleurs.
  • As-tu d’autres jouets ? Je lui montrai ce qu’il me restait : Une brosse à poils durs pour les cheveux, efficace pour se frotter les couilles ou la bite, une boite de punaise que j’étalai parfois sur mon siège, des élastiques…
  • Tu n’as aucun jouet acheté dans une boutique spécialisée ?
  • Non, répondis-je, en pensant aux orties, tringles à rideaux, glaçon, eau chaude, règle… que j’utilisai parfois.
  • Nous allons changer cela. Je sais qu’en tant qu’étudiant tu n’as pas d’argent, mais tu me rembourseras en sessions de soumission.
  • Merci madame, répondis-je, heureux de savoir que notre relation ne s’arrêterait pas ce soir.
  • Remets un peu de cire sur ta bite et tes tétons. J’aimai cette alternance d’ordre et de discussion qui prolongeait la douleur. Quand on pratique seul, en ce qui me concernait, il était difficile de ne pas accélérer jusqu’à l’éjaculation et la libération, raccourcissant le jeu. J’étais heureux d’avoir une maitresse du temps. Les pinces me faisaient de plus en plus mal. Je ne les avais jamais gardées aussi longtemps. J’avais lu qu’il ne fallait pas, mais je comptais sur ma maitresse pour en connaître la limite. Je jouai sous ses ordres encore dix minutes en agitant la bouteille dans tous les sens. Ajoutée aux pinces, le balancement était suffisamment douloureux pour que, lors de certains élancements, je pliais les genoux pour la laisser reposer. Je ne savais pas alors, mais les conséquences de ces pauses, qui ne semblaient pas gêner ma maitresse, et pour cause, auraient plus de gravité que je n’avais, ne serait-ce, qu’esquissé.
J'ai bien aimé c'est récits , une suite peut être ?
Oh oui, J'ai déjà une vingtaine d'épisodes d'écrit, mais il me faut les taper. A peine avais-je commencé que je en pouvais plus m'arrêter.
Continuez! Continuez! Surtout ne vous arrêtez pas!
Tu peux me tutoyer, et le fait de savoir qu'ils sont lu m'incite à continuer
Le réalisme de la description de cette session me provoque quelques jolies excitations !
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